Si Charlotte Casiraghi n’aurait pas conviée sa tante Charlène de Monaco à une fête à Saint-Rémy-de-Provence, où elle aurait annoncé à son clan sa grossesse, ce serait pour une raison bien précise.
Si Charlène de Monaco ménage son fils Jacques, et l’aide tout doucement à sentir à l’aide lors de ses apparitions publiques, ce serait pour lui éviter un terrible traumatisme. Un symptôme handicapant.
Fin février, le version allemande du magazine « In Touch » a rappelé l’apparition très remarquée de l’héritier de la couronne monégasque aux célébrations de la Sainte-Dévote, la Sainte patronne de Monaco.
Il semblait en effet perdu sans sa jumelle, Gabriella. Hagard, et perdu, le fils de Charlène et Albert de Monaco ne semblait pas bien.
La première dame avait tenté le rassurer tant bien que mal. Le média allemand explique que le souverain de Monaco voulait tout de suite le lancer dans le bain pour l’habituer aux responsabilités afin qu’il ne soit pas traumatisé par les « gens comme il l’a été lui-même ».
« Mon père était du genre, ne faites confiance à personne. Il avait des côtés rigoureux, parfois un peu durs », dit le prince à propos de son père.
Et un documentaire diffusé le 8 mars sur France 3 consacré à Grace Kelly permet de comprendre l’ampleur de son traumatisme.
Le mari de Charlène de Monaco souffrait « d’un symptôme pour le moins fâcheux ». Il bégayait lorsqu’il parlait en français, la langue de son père, celle des responsabilités.
Et en anglais, sa parole était fluide. Il veut éviter ce drame à son fils.
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