Char­lène de Monaco s’at­tire les foudres des familles de victimes d’at­taques de requins

28 juin 2017 - 19h17 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

Char­lène de Monaco s’at­tire les foudres des familles de victimes d’at­taques de requins, après avoir taclé Kelly Slater qui appelait à l’abattage des requins.

Dans le reportage qui lui est consacré en mars dernier dans Paris Match, Charlène de Monaco avait pris position pour les requins de la Réunion et en profitait pour recadrer Kelly Slater.

L’hebdomadaire rappelait que trois jours plus tôt, Alexandre Naussac, un bodyboardeur de 26 ans, a perdu la vie après avoir été attaqué par un requin sur le littoral de Saint-André, à l’embouchure de la Rivière du Mât.

Suite à ce drame, Kelly Slater appelé les autorités françaises à réagir et à réduire le nombre de squales.

« Honnêtement, je ne vais pas me faire que des amis en disant cela, mais il y a besoin d’une régulation sérieuse des requins à la Réunion, et ce de façon quotidienne. Il y a un net déséquilibre qui se produit dans l’océan à cet endroit. Si le reste du monde avait ces taux d’attaques de requins, personne n’utiliserait l’océan ou des millions de personnes mourraient littéralement de cette façon. Le gouvernement français doit trouver une solution aussi vite que possible. 20 attaques depuis 2011 !? », lançait le surfeur américain, qui n’avait pas manqué d’être recadré par Charlène de Monaco.

« Je suis désolée pour ce jeune surfeur, disait-elle selon les propos rapportés par Paris Match, mais il n’avait pas à nager dans ces eaux sales, particulièrement attirantes pour les requins, et, du reste, interdites à la baignade ».
« On tue 1 million de requins par an, eux ont fait 20 morts à la Réunion depuis 2011. Sans ces prédateurs, la planète ne fonctionnerait pas comme il se doit. Ce que préconise Slater met en danger l’écosystème », expliquait-t-elle.
Cette prise de position lui attire aujourd’hui les foudres du collec­tif « des victimes du Scan­dale requin », qui regroupe des familles de victimes d’at­taques de requins. Le collec­tif s’est exprimé sur Face­book.
« Il ne faut pas trai­ter un sujet aussi sensible avec légè­reté. […] Votre noto­riété et surtout votre rang devraient vous impo­ser une certaine préci­sion car lorsque vous parlez aux médias, l’im­pact est très impor­tant. […] Une femme spor­tive telle que vous ne peut pas décem­ment privi­lé­gier un pois­son au détri­ment de jeunes humains, comba­tifs et ambi­tieux, dont le seul but est de se dépas­ser dans l’ef­fort physique. »

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