« Je me sens plus libre parce que je suis plus libre, confie la diva québécoise, qui rappelle que son mari René Angélil, le père de ses enfants, était « super protecteur ».
« il m’entourait des meilleures personnes et je n’avais pas grand-chose à dire ou faire, car tout était déjà fait », précise-t-elle lors d’un entretien accordé à Radio-Canada Arts.
Et depuis le décès de son mari il y a un an et demi des suites d’un cancer de la gorge, la chanteuse prend désormais seule ses décisions.
« On s’assoit ensemble, que ce soit pour le spectacle, pour le disque, que ce soit pour les sacs à main ou les enfants à la maison, c’est bien simple : c’est moi le boss », explique celle qui espère utiliser sa notoriété pour venir en aide aux personnes dont le besoin.