Celle allégation est dévoilée par le magazine "Public" en septembre dernier. Céline Dion lui en voudrait à mort.
De l’intox ! En entretien avec Le Parisien, dans le cadre de la promotion d’Aline, sa dernière réalisation, Valérie Lemercier a assuré sur leur complicité. L’actrice endosse le rôle de la québécoise.
Son film devait sortir au Québec le 27 novembre. Mais à cause de la crise sanitaire, cette sortie est avortée.
"Il ne sortira pas là-bas non plus, car les cinémas y sont fermés. Finalement, « Aline » sortira peut-être en même temps en France, en Suisse et en Belgique", a-t-elle indiqué.
L’entourage de Céline Dion a été prévenu de cette sortie.
"J’espère qu’elle le verra avant mon décès !", a-t-elle plaisanté.
Suite à la décision des autorités de reconfiner, Valérie Lemercier a pensé au pire.
"J’ai erré chez moi en manteau, j’ai pensé à toutes ces avant-premières joyeuses qu’on a faites avec le film et je me suis dit : « Tout ça
s’écroule. » Mais je suis très fataliste", a-t-elle reconnu. Comme le dit Shakespeare : « Ce qui ne peut être évité, il faut l’embrasser".
Sa dernière réalisation a déjà été vue par plus de 11 000 personnes lors des avant-premières.
"Ce qui me fait plaisir, c’est que c’est un film qui parle d’une chanteuse
populaire et, pour l’instant, il a été vu par un « vrai » public,
pas par le gratin lors d’une avant-première officielle", précise-t-elle.
Ce qu’elle regrette, c’est que les cinémas n’aient pas bénéficié d’une dérogation.