Catherine Frot, face au drame, burn out et dépression

Ici Paris a fait état des ennuis de l’actrice, maman de Suzanne, une fille d’origine mauricienne qu’elle adoptée en 1996. Et elle est violoncelliste. Elle a par ailleurs étudié à Londres, à la SOAS University, d’où elle est sortie diplômée d’un master en droit international.

Lorsque Catherine Frot a vu son « bébé grandir », elle s’est sentie vieillir.

« Il faut une énergie colossale dans ce métier, que ce soit au théâtre ou au cinéma. Quand on tourne, la vie privée, c’est un peu difficile », a-t-elle confié, précisant qu’un moment de sa vie, elle a eu besoin de se concentrer sur elle-même, raison pour laquelle elle a décliné de nombreuses offres, dont le rôle de madame Verneuil dans « Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ? ».

« J’ai l’impression d’avoir fait pas mal de choses bien concentrées ces vingt dernières années ! », dit-elle. Catherine Frot confirme avoir souffert de burn out et de dépression.

Mais elle avait décidé de faire un break, occasion de beaucoup lire, d’aller au théâtre, et de voyager un peu, et de rester chez elle en Corse. Rétablie, elle émerge avec Qui m’aime me suive !, réalisé par José Alcala avec Daniel Auteuil, actuellement sur nos écrans.