Même si Charlène de Monaco multiplie les apparitions publiques dont la dernière en date l’occasion d’une inauguration, la vraie souveraine du Rocher serait Caroline de Monaco.
Caroline de Monaco qui se reconnait un énorme sens de la discipline serait irritée par l’énorme déballage sur une personne qui lui est chère et qui ne peut plus se défendre.
Il s’agit de Karl Lagerfeld, le regretté directeur artistique de la maison Chanel, qu’elle considérait comme un membre de sa famille.
Le kaiser "était" présent à l’accouchement de ses enfants.
"C’est difficile de décrire ce qui nous unissait, les mots sont bien en deçà de la réalité", confiait-elle à son sujet dans Point de Vue. On était vraiment sur la même longueur d’onde".
"On avait le même humour. Les mêmes choses nous faisaient rire. En quarante-cinq ans d’amitié on avait fini par bien se connaître et développer nos petits codes. On s’éperonnait mutuellement aussi".
L’ainée des Grimaldi a peiné à surmonter sa disparition. À la cérémonie d’adieu du Kaiser, elle était l’ombre d’elle-même.
Et un an et demi après sa disparition, sa mémoire est salie par des "horreurs homophobes" dont il est visé sur les réseaux sociaux.
Le complice de Caroline de Monaco est supposé avoir profité de Baptiste Giabiconi, qualifié sur les réseaux sociaux "p*** à Karl".
"C’est une relation qui a duré et perduré dans le temps car elle n’était pas basée sur une relation érotique ou ambigüe, sexuellement parlant", a-t-il indiqué avant de s’interroger : "Est-ce qu’on laisse une partie d’un héritage à une "p***" ?".
"Il voulait que je sois son fils d’une manière ou d’une autre. Il disait ’si je viens à me casser la pipe, ça sera toi’. Il voulait me protéger", at-il indiqué.
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