D’après le magazine « Elle », qui se base sur les confidences d’une proche de la famille princière, Nicole Coste aurait été autorisée à s’exprimer dans Paris Match, repris ensuite par le magazine Oggi. Elle ne retient pas les coups contre la première dame dont l’image a été ternie.
« Quant à Charlène, c’est un sujet que je ne peux pas éviter car on nous met souvent en parallèle. Je n’aime pas qu’on nous compare. Je ne me suis jamais affichée en tant qu’ennemie. Je suis une femme douce », explique cette ancienne hôtesse de l’air, qui aspire désormais à plus de lumière sur le Rocher.
« Mais pendant la période des fiançailles, j’ai vécu des choses qui m’ont alertée et choquée. Elle a, par exemple, changé mon fils de chambre, profitant de l’absence de son père pour l’installer dans l’aile des employés. En tant que mère, je ne trouve pas de mots pour décrire ces agissements », avait-elle balancé.
Cette prise de parole a été commentée par une proche de Charlène de Monaco.
« Il y a eu un événement récent d’une grande violence, mais que seuls les gens qui parlent le “Monaco” couramment ont pu mesurer. Cet été, pendant la convalescence de la princesse, « Paris Match » a fait sa Une sur le fils naturel d’Albert », explique-t-elle dans les colonnes du magazine Elle. « Dans l’interview qui accompagne les photos du jeune homme, sa mère, Nicole Coste, affirme que Charlène aurait envoyé son fils, qui est métis, dans le quartier des domestiques. Tout le monde sait qu’une telle bombe n’a pu être lancée qu’avec l’accord, même tacite, du palais. ».
Le prince Albert de Monaco, et la première dame officieuse, Caroline de Monaco, sont ainsi ciblés.