Dans son numéro daté du 19 novembre, le magazine Voici faisait état de quelques frictions entre la première dame monégasque et sa belle-sœur, qu’elle est supposée ne pas porter dans son cœur.
L’épouse du prince Albert de Monaco aurait même pu assister à la fête nationale, si elle « avait eu l’assurance » que sa belle-sœur n’y soit pas.
Toujours selon « Voici », à son retour d’Afrique du Sud après un isolement forcé pour raison médicale, Charlène de Monaco aurait pris une décision radicale, celle d’écarter certaines personnes de son entourage.
« Elle n’a plus envie de subir les pressions, le chantage et les foudres de sa belle-famille », a assuré la publication.
Son staff aurait été réorganisé et la décision aurait été prise de se « séparer de personnes toxiques ».
En tout cas, Caroline de Monaco n’en ferait pas partie, affirme Mike Wittstock dans les colonnes du magazine « You ».
Il se réjouit que pendant cette période délicate, le prince Albert et Charlène aient « beaucoup de soutien ».
« Ceux qui entourent Charlène sont convaincus qu’elle sortira plus forte que jamais, d’autant plus qu’elle a de nombreux nouveaux projets passionnants prévus pour 2022, à la fois en Afrique du Sud et à Monaco », est-il indiqué.
Et de rappeler que pendant la fête nationale monégasque, « les sœurs d’Albert, la princesse Caroline (64 ans) et la princesse Stéphanie (56 ans) » se sont si bien occupées des jumeaux, Gabriella et Jacques. Un clan uni dans l’épreuve.