Dans « Albert II de Monaco, l’homme et le prince – Conversations », livre d’entretien signé Isabelle Rivère et Peter Mikelbank, Caroline de Monaco a précisé l’origine de la cicatrice de son frère, et plaide coupable.
La maman de Charlotte Casiraghi rappelle que durant son enfance, son frère était son seul camarade de jeu. Et de préciser que son frère arbore sa cicatrice sur la lèvre après l’une de leurs disputes.
« Mon frère était mon principal compagnon et camarade de jeu, d’où la fréquence de nos disputes. Nous étions comme chien et chat », se rappelle Caroline.
Et de poursuivre : « J’étais horrible. (...) Je suis notamment responsable de la cicatrice qu’Albert arbore sur la lèvre ».
Elle explique aussi combien elle admire son frère, qui n’a pas beaucoup changé avec les années, et demeure toujours d’une très grande gentillesse.
« Beaucoup de choses n’ont jamais changé en lui, note-elle, son immense gentillesse, sa bonté, cette profonde honnêteté, cette droiture dont il faisait preuve lorsqu’il était enfant et que je retrouve aujourd’hui encore (...) Quand il était petit, je reconnais que j’étais parfois agacée par son côté... un peu trop parfait, justement, aux yeux de la fillette que j’étais »
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