Carla Bruni et Nicolas Sarkozy se retrouvent en Une du magazine Allo Paris, mais derrière les apparences, une véritable machination diabolique se dessinerait.
Carla Bruni et son homme, Nicolas Sarkozy, plaisantaient à propos des écoutes dont ils ont été la cible il y a quelques mois. Ces écoutes ont été jugées cette semaine légales par la justice.
D’après une information du Canard Enchaîné, repris par Closer, l’ex président de la république et la chanteuse ont moqué les enregistrements dont ils ont été la cible.
C’était juste après les attentats de janvier dernier, en apportant main forte aux propos de Bernard Squarcini, l’ancien directeur de la DCRI.
Ce dernier n’a eu de cesse de réclamer l’augmentation du nombre d’écoutes administratives pour surveiller les terroristes présumés.
Ces propos ont été commentés par l’ex couple présidentiel.
’Les vingt-cinq policiers qui m’ont écouté auraient mieux fait de s’occuper d’enregistrer des terroristes’, a lâché le président la république.
Ces écoutes ont été par ailleurs évoquées par C arla Bruni-Sarkozy lors d’un concert à l’Olympia.
’Quelqu’un m’a dit… qu’on nous écoute’, a-t-elle chanté l’ex première-dame, traumatisée par cette affaire.
’Cela fait deux trois jours que je n’ose plus chanter’, a-t-elle ensuite confié.
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