L’hebdomadaire qui consacre d’ailleurs sa Une à l’ex-couple présidentiel qui revient sur tout simplement sur les coulisses de cette nuit agitée du 13 avril dernier.
Une poignée d’agitateurs est venue troubler leur havre de paix, Villa Montmorency, en plein XVI ème arrondissement de Paris.
Cette résidence fermée où Carla Bruni et Nicolas Sarkozy sont installés depuis des années « a brusquement été envahi par le bruit et la fureur d’une fête clandestine insensée et totalement incontrôlée ».
La fête a été organisée par Guillaume Genton, qui officie en qualité de chroniqueur dans TPMP sur C8. C’est pour les besoins d’un documentaire sur les youtubeurs. Le producteur a démenti en être l’organisateur.
En tout cas cette fête a été organisée au mépris des règles sanitaires.
« L’intervention des forces de l’ordre a débuté vers 22 h 30. Une personne a été
verbalisée pour « tapage nocturne », rappelle la publication. Cet avertissement n’a pas été entendu puisque la police est revenu 2 h du matin.
« Un policier a été blessé par une porte cochère alors que les convives tentaient de se réfugier à l’intérieur d’un hall d’immeuble »,
a indiqué une source policière au HuffPost. Dix-sept personnes ont
été verbalisées pour « non-respect des mesures sanitaires en vigueur ». Carla Bruni et Nicolas Sarkozy auraient été agacés, mais contrairement à ce qui a été raconté, l’ancien président de la république n’a pas prévenu les forces de police.
Ce soir-là, il serait rentré tard et aurait assisté à un match du Paris Saint-Germain.
Son entourage a précisé qu’il avait « juste salué les policiers présents
dans son impasse, comme il le fait systématiquement quand il en croise ».