Ciblée par de nombreuses critiques pour avoir apporté son soutien à Fanny Ardant, et par conséquent à Roman Polanski, Carla Bruni a eu droit un soutien de taille, celui de l’ancien président de la république, Nicolas Sarkozy.
« Moi j’aime Fanny Ardant. Vive la liberté de pensée », avait lancé l’ex première dame sur son fil "Instagram", qui veut surtout célébrer la liberté. Et quelques jours plus tôt, elle se disait plutôt contre "le féminisme".
Et cette position, son mari la partage dans son ouvrage Passions, qui a eu un énorme succès en librairie.
Il évoquait son débat face à Ségolène Royal lors du débat du second tour de la campagne présidentielle.
"J’entends d’ici les réactions prévisibles de ce nouveau mouvement féministe qui pense plus pertinent d’attaquer les hommes que de défendre les femmes. Je vois bien le procès en « machisme », a lancé le mari de Carla Bruni.
Ce procès, l’ex-chef de l’État, l’estime injustement intenté "à toute personne qui invoque la vulnérabilité de la femme".
"Ma vie privée devrait pourtant me mettre à l’abri de ces caricatures car elle montre que j’ai toujours choisi des femmes à forte personnalité".