Carla Bruni, qui revient avec l’album « French Touch », dans les bacs le 6 octobre prochain, s’est confiée lors d’un entretien accordé au JDD, où elle parle non seulement de sa carrière, mais aussi de politique, et de son mari, Nicolas Sarkozy.
« J’ai eu la chance de faire des rencontres incroyables, comme Nelson Mandela, quand mon mari était chef d’Etat, a-t-elle raconté. La politique, c’est très féroce. Je l’ai appris à mes dépens. En France, on m’y ramène toujours ».
Carla Bruni en profite pour se rappeler l’époque où ses concerts « avaient pris des airs de meeting politique, entre les pro et les anti-Sarkozy ».
« Au début, c’était assez tranquille puis il y a eu la présidence de l’UMP et ses suites. C’est devenu un tourbillon, a poursuivi Carla Bruni. Mon mari suscite des réactions assez fortes. Le mois dernier, il m’a accompagnée au concert de soutien aux Antilles au Casino de Paris. J’étais sur scène, lui est resté dans les coulisses. Sinon, dès qu’il est dans la salle, c’est des selfies à profusion ».
« Les gens ont un rapport très affectif avec lui », indique celle qui pour les besoins de son dernier album a repris AC/DC, d’ABBA, des Clash, des Rolling Stones ou encore de Depeche Mode.