Ophélie Winter aurait tenté de mettre le grappin sur Bernard Tapie, a confirmé sa veuve, Dominique, sur le plateau de Clique sur Canal+.
Alors qu’il a entamé une nouvelle séquence de chimiothérapie, Bernard Tapie croit « comme un fou à sa guérison ».
L’homme d’affaires s’est longuement livré lors d’un entretien accordé au Figaro, où il n’a pas échappé à une question sur ses ennuis de santé.
Bernard Tapie lutte en effet depuis l’automne dernier contre un cancer de l’estomac. Et si le mois dernier, il semblait pessimiste dans les colonnes de l’Equipe, aujourd’hui, il se dit convaincu de gagner cette bataille pour la vie.
Bernard Tapie a en effet déclaré entamer « une nouvelle séquence de chimiothérapie ce mardi après-midi », et qu’il est actuellement en phase de résistance.
Il croit comme « comme un fou » à cette guérison et que cette terrible maladie ne constituera plus que "de mauvais souvenirs" d’ici quelques mois.
Au cours de cet entretien, il a attribué partiellement l’origine de sa maladie à François Hollande.
« Il m’a souhaité un prompt rétablissement. Je lui ai répondu qu’il n’était pas complètement étranger à ma maladie », a-t-il indiqué.
L’ex chef de l’Etat « a voulu ériger cette affaire en symbole de son entreprise de démolition de l’action de son prédécesseur ».
« Le mobile de Hollande était très politique. Pourtant, Nicolas Sarkozy, qui n’a d’ailleurs jamais été cité et convoqué dans mon affaire, n’a fait qu’une chose : donner son accord à Christine Lagarde, alors ministre de l’Économie, pour que le dossier soit jugé par trois arbitres, choisis avec l’assentiment du consortium de réalisation (CDR), l’organisme chargé de gérer le passif du Crédit lyonnais », explique-t-il.
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