Fragilisée par une désagréable rumeur qui circule à son sujet, Brigitte Macron semblait l’avoir surmonté de l’hommage à Charlotte Valandrey, trois mois après sa disparition.
Pour être crédible en première dame, Brigitte Macron jouerait d’une certaine manière la comédie, un étonnant rôle pour les besoins duquel elle n’hésiterait pas à souffrir le martyre. La raison est précisée.
Et l’ex-professeure de français, souvent ciblée par de désagréables attaques en raison de sa différence d’âge avec son mari , a ouvert son cœur à sujet lors d’un entretien accordé à sa biographe autour d’une confidence sur son quotidien à l’Élysée, où le climat serait pesant. S’elle souffre, c’est à cause de ses talons hauts qu’elle ne supporte pas.
’Héroïne d’une œuvre qu’elle a en partie composée, actrice de la comédie du pouvoir, où elle occupe une place à part, perchée sur ses talons vertigineux qui la font souffrir, sourire arrimé au visage, elle endosse son
costume’, a-t-il indiqué dans un livre qui lui est consacré, ’Madame, la présidente’, et dont un extrait a été relayé par ’Journal de France’ qui l’a mise à l’honneur.
Et Brigitte Macron le confirme elle-même. ’Je mets mes stilettos, mes collants, ma robe et j’entre dans mon rôle, j’y suis’, confie l’épouse d’Emmanuel Macron, confirmant ainsi jouer un rôle.
’Dans ma tête, je suis dans le rôle de première dame’, glisse l’heureuse maman de trois enfants, faisant une distinction entre sa fonction et ’la vraie Brigitte’.
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