L’ennemi qui est supposé avoir malmené la première dame n’est autre que Vladimir Poutine. Il aurait figé Brigitte Macron lors d’une visite à Fort Brégançon, la résidence secondaire des chefs d’État.
Le président russe serait fragilisé par « une intervention chirurgicale », qu’il aurait subie l’an dernier pour en finir d’un cancer à l’abdomen, révélait Gala.
« Il envisagerait même de laisser sa place au sommet de l’État dans les prochains mois, n’étant plus en état d’assurer ses fonctions ».
Emmanuel Macron l’a rencontré cette semaine dans l’espoir d’éviter une dégradation et d’escalade », sur la frontière ukrainienne. Le président évoque une torture.
« Les tensions étaient palpables. Quand Vladimir Poutine a dit que je l’a(vais) torturé, c’est parce que je suis revenu constamment sur les garanties à la frontière. Il joue sur chacune de ses ambiguïtés », a glissé Emmanuel Macron à France Télévisions.