Si Brigitte Macron a été humiliée cet été par un chef d’Etat, Vladimir Poutine, qui l’aurait pétrifiée par une remarque indélicate, en coulisses, une autre guerre se livrait. Les gorilles du président russe ne lâchent rien.
Cette confidence est livrée par Alexandre Benalla, l’ex garde du corps d’Emmanuel Macron, qui revient à la lumière avec son ouvrage, « Ce qu’ils ne veulent pas que je dise ».
Il qualifie les hommes de la sécurité de Vladimir Poutine, comme des types que « l’on n’aimerait pas croiser le soir dans une rue sombre ».
Le dialogue avec eux est assez limité. Ils seraient un peu comme leur chef.
« On échange en toute discrétion des coups d’épaule à vous envoyer dans le décor, mais les russes tiennent bon. Impossible de les déloges de l’entourage immédiat de Poutine », précise Alexandre Benalla dans son livre.
Et on comprend aujourd’hui la raison pour laquelle le secret entourant la remarque faite par Poutine à Brigitte Macron cet été à Fort Brégançon.
La première dame semblait l’avoir pris, et même Emmanuel Macron n’avait pas réussi à la calmer.
">August 21, 2019Qu'est ce qu'a bien pu dire #Poutine pour que Brigitte #Macron soit figée dans cette attitude au point que son mari ait besoin de la raccompagner avec insistance.. Mystère.. pic.twitter.com/z295meBsY3
— Lakhdar Benz (@BenzLakhdar) https://twitter.com/BenzLakhdar/status/1164236860983525376
Ces articles devraient vous intéresser :
