Lorsque Brigitte Macron est au fond du trou en raison des critiques, et des rumeurs consécutives à une prétendue opération esthétique, un seul être occupe ses pensées. Il s’agit de son regretté père.
Cette confidence, la première dame l’avait livrée à son ami, Philippe Besson, l’écrivain et ami, qui avait suivi la campagne présidentielle pour les besoins de son livre, a rappelé « L’Evénement ».
« Je pense à mon père dans les moments importants ou délicats », avait-elle confié.
Ces liens privilégiés de la première dame avec son père, il en a aussi été question dans « Brigitte Macron, la confidente », l’ouvrage de Fabienne Cassagne.
« Avec ce père de 44 ans son ainé, qui pourrait être son grand-père, elle fait peut-être pour la première fois le constat que l’âge ne fait rien aux sentiments et que les années d’écart n’empêchent pas la proximité », précise la journaliste, laissant ainsi entendre que ce prétendu énorme « écart d’âge » avec son père aurait facilité sa
Si Brigitte Macron était fusionnelle avec sa père, elle l’était aussi avec sa mère, Simone.
« J’ai été gâtée, affectivement, socialement, j’avais tout, je ne pouvais me plaindre de rien, et pourtant j’ai été une adolescente en souffrance », disait-elle, allusion aux deuils qui ont marqué sa famille. La mort de sa soeur ainée, et son époux. Sa soeur était était enceinte.
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