Carla Bruni et Nicolas Sarkozy étaient au cœur de l’actualité en août dernier, en une du magazine Ici Paris. Les rumeurs tourbillonnaient autour d’une douloureuse perte, un drame qu’ils avaient gardé secret jusqu’à présent.
Brigitte Macron aurait injustement accusé Nicolas Sarkozy, d’une odieuse manœuvre, visant à briser la popularité du couple présidentiel. La vérité éclate enfin sur cette affaire.
Au printemps dernier, le journaliste Marc Endeweld affirmait dans son ouvrage « Le Grand Manipulateur », que le mari de Carla Bruni-Sarkozy avait suscité l’ire du couple présidentiel, l’ayant accusé d’être à l’origine de l’éclatement de l’affaire Benalla, qui a gâché durant quelques semaines le quotidien de l’Elysée.
Mais une nouvelle version est livrée par Alexandre Benalla lui-même, dans son ouvrage « Ce qu’ils ne veut pas que je dise ».
Il rapporte les propos qu’un haut fonctionnaire aurait tenu le 1 er mai dans la salle de commandement de la prefecture de police.
« On le tient », aurait-il entendu.
« Ce sont ces mêmes policiers qui auraient remis aux journalistes du Monde « clés en mai » les images du 1er mai. Ils ont fait « d’une pierre deux coups », écrit-il.
« M’éliminer du paysage et balayer la réforme maudite », celle de l’organisation de la sécurité autour du chef de l’Etat.
« Pourrir l’après Coupe du monde et priver Emmanuel Macron du bénéfice d’image de cette victoire ».
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