« Le Journal de France » s’intéresse à la première dame, non pour revenir sur ses apparitions au G7, qui a fait couler beaucoup d’encre, mais à sa relation fusionnelle avec son mari.
Brigitte Macron a beaucoup fait pour lui et l’un de ses sacrifices a été de renoncer à son métier de professeur de littérature. Elle ne pouvait plus suivre le rythme imposé par son mari. Un ancien ministre confirme ce propos.
« N’étant pas insomniaque comme son mari, leurs débriefs nocturnes la laissent « dézinguée », comme elle l’avoue elle-même.
« Un jour, elle m’a dit : “Je suis crevée. Je n’ai plus le temps de préparer mes cours. Je ne suis plus à la hauteur de mes élèves” », raconte Gérard Collomb, l’ancien ministre de l’intérieur.
Quelques semaines après la nomination de son mari à Bercy, elle confirmait à son entourage qu’il lui était impossible de tenir la cadence, et qu’elle allait devoir prendre une décision qui lui brise le coeur, celle de renoncer à son métier. Il s’agit d’une requête de son mari.
« Quand il m’a demandé d’arrêter, j’ai dit OK. Ca l’aide matériellement. Je m’occupe de tout ce qui concerne la vie personnelle. Je sais ce dont il a besoin », disait-elle.