Le désarroi de Brigitte Macron face à la tentative de suicide d’un employé de l’Élysée est l’un des éléments marquants de la révélation de Marianne le 5 avril.
S’il est une chose que Brigitte Macron regrette, ce serait de ne pas avoir une amie proche pour se confier. Et ça aurait pu être sa belle-mère, qui se ferait désormais rare à l’Élysée.
Comme Nicolas Sarkozy dans son dernier ouvrage, le pouvoir isole. Et à l’Élysée, il a été contraint de rogner sur sa liberté et aurait eu d’une certaine manière l’impression d’être dans une sorte de prison dorée.
Et Brigitte Macron serait dans une situation similaire, est-il rappelé dans Madame, la présidente", l’ouvrage signé Ava Djamshidi et Nathalie Schuck, (édition Plon), et exhumé par France Actu.
"Si seulement il y avait les amis pour s’épancher. Désormais, elle doit se méfier de tout le monde", ont glissé les auteures.
Depuis son entrée à l’Élysée suite à la victoire de son mari à la présidence de la république, la première dame aurait été contrainte de renoncer à ses diners mondains et à ses superbes tables qu’"elle affectionne tant".
Ces diners avaient permis à Brigitte et Emmanuel Macron de "se constituer un réseau" hors norme.
Désormais, Brigitte Macron afficherait une méfiance au quotidien, conscience que tout pourrait être utilisée "contre elle. Contre eux".
" Elle décline de ce fait toutes les invitations". Sa belle-mère, Françoise Noguès, aurait pu être une confidente, comme elle l’aurait été durant le confinement. « Avec ma belle-mère, on parle de traitements, et de nouveaux protocoles », confiait-elle.
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