Brigitte Macron "chambardée" à l’Élysée - cadeau inestimable d’un chef d’État
Si aujourd’hui, Brigitte Macron et son mari sont si à l’aise, lors de leur visite à un chef d’État, aujourd’hui disparu, ils ne l’étaient pas. Ils ont eu droit à un cadeau d’une grande valeur.
La première dame demeure le premier soutien de son époux, qui s’apprêterait à changer de premier ministre. Et d’après Le Parisien, il se pourrait même que le chef de l’État s’affiche avec son nouveau bras droit pour le 14 juillet, à l’occasion de la Fête Nationale.
Au sujet du maintien de Philippe comme Premier ministre, un
conseiller du chef de l’État est allé de sa salve. « Politiquement,
on sait aussi ce que nous ont coûté sa connerie sur les 80 km/h et son obstination à maintenir la taxe carbone : 18 milliards d’euros ! Pas mal pour un politique qui veut à tout prix incarner l’orthodoxie budgétaire".
Et en cette période délicate, Emmanuel Macron aurait aimé quelques conseils de Jacques Chirac, qui les a intimidés lors leur premier visite à son hôtel particulier de la rue de Tournon dans le Paris 6. C’était en juillet 2017.
"Ils savent qu’ils s’apprêtent à vivre un peu plus qu’une rencontre
protocolaire : un passage de témoin. Les deux présidents ne se connaissent
pas, question de génération", est-il rappelé dans une biographie consacrée à la première dame, "Madame, la présidente", éditée chez Plon, et repris par le magazine "Succès".
"Le malheureux Macron n’était même pas né que Jacques Chirac finissait sa carrière ! », a confié un proche du regretté Jacques Chirac.
Touché par la visite, Jacques Chirac "veut offrir un cadeau à son jeune successeur". Il lui offrira un petit portrait du général de Gaulle en cuir gravé, symbole de "la transmission républicaine », confie Claude Chirac.
’hui, Brigitte Macron et son mari sont si à l’aise, lors de leur visite à un chef d’État, aujourd’hui disparu, ils ne l’étaient pas. Ils ont eu droit à un cadeau d’une grande valeur.
La première dame demeure le premier soutien de son époux, qui s’apprêterait à changer de premier ministre. Et d’après Le Parisien, il se pourrait même que le chef de l’État s’affiche avec son nouveau bras droit pour le 14 juillet, à l’occasion de la Fête Nationale.
Au sujet du maintien de Philippe comme Premier ministre, un
conseiller du chef de l’État est allé de sa salve. « Politiquement,
on sait aussi ce que nous ont coûté sa connerie sur les 80 km/h et son obstination à maintenir la taxe carbone : 18 milliards d’euros ! Pas mal pour un politique qui veut à tout prix incarner l’orthodoxie budgétaire".
Et en cette période délicate, Emmanuel Macron aurait aimé quelques conseils de Jacques Chirac, qui les a intimidés lors leur premier visite à son hôtel particulier de la rue de Tournon dans le Paris 6. C’était en juillet 2017.
"Ils savent qu’ils s’apprêtent à vivre un peu plus qu’une rencontre
protocolaire : un passage de témoin. Les deux présidents ne se connaissent
pas, question de génération", est-il rappelé dans une biographie consacrée à la première dame, "Madame, la présidente", éditée chez Plon, et repris par le magazine "Succès".
"Le malheureux Macron n’était même pas né que Jacques Chirac finissait sa carrière ! », a confié un proche du regretté Jacques Chirac.
Touché par la visite, Jacques Chirac "veut offrir un cadeau à son jeune successeur". Il lui offrira un petit portrait du général de Gaulle en cuir gravé, symbole de "la transmission républicaine », confie Claude Chirac.
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