Franche, Brigitte Macron est l’une des rares à parler à son mari, et de lui dire ses quatre vérités.
Le magazine « L’Express » s’intéresse cette semaine au rôle de la première dame joue auprès de son mari, occasion d’évoquer ses craintes et ses obsessions, mais aussi sa franchise. Elle est en effet l’une des rares à pouvoir parler cash à son mari.
« De la même manière qu’elle exprime son désaccord au moment où le candidat Macron compare la colonisation à un « crime contre l’humanité », en février 2017, ‘une connerie’, ou qu’il n’applaudit pas, les mains ostensiblement croisées sur les cuisses, un discours qu’elle trouve trop long », précise l’hebdomadaire.
Brigitte Macron dont le f rère ainé est décédé des suites d’une crise cardiaque, était aussi consternée quand le chef de l’Etat avait lancé le 24 juillet dernier en pleine tempête : « Alexandre Benalla n’a pas été mon amant ».
Cette phrase aurait réveillé en elle un traumatisme, celui des rumeurs sur l’homosexualité du président ayant circulé durant la campagne présidentielle.
Même s’elle est cash avec Emmanuel Macron, elle regrette souvent d’être la seule.
« Je ne peux pas être la seule, se désole-t-elle devant ses proches. Et je ne peux non plus lui faire deux cents reproches tous les soirs ».
Brigitte Macron s’attache avant tout rester l’élément modérateur.
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