Les récents événements ont mis en lumière la protection spéciale dont bénéficie la famille de Brigitte Macron dont le petit-neveu a été agressé dans sa ville natale, Amiens.
Brigitte et Emmanuel Macron ne seraient pas au bout de leurs peines après avoir été menacés de mort, un autre grand péril les attend, celui de gérer une guerre civile.
C’est la terrifiante prédiction annoncée par le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, qui avait tiré sa révérence après s’être clashé avec le chef de l’État.
Il se confie lors d’un entretien accordé au Parisien, où il déplore le climat social actuel, qui serait très explosif.
L’angoisse en perspective pour le chef de l’État et le gouvernement ? Peut-être bien.
"Et six crises se superposent : sanitaire, sécuritaire, économique, financière,
géostratégique et évidemment politique, celle que j’appelle la crise d’autorité", a annoncé le général qui ne semble pas réfractaire à se lancer dans la politique, et pourquoi pas une candidature à la présidence de la république.
La France se réforme souvent par rupture, par explosions.
"Ma crainte, c’est la guerre civile. Quand on décapite un prof devant un collège ou qu’on assassine trois personnes venues prier dans une église… je suis inquiet", lance-t-il, avant d’affirmer qu’il est non pas sombre, mais réaliste.
"La France " peut s’en tirer, à condition de sortir de cette dépression collective.
"On ne fait pas des grandes choses en capitalisant sur les défauts, ou en se repentant, mais en tirant vers le haut", a précisé celui qui ne garderait aucune rancune à l’égard d’Emmanuel Macron.
Le général a par ailleurs pris pour exemple Didier Deschamps qui "a gagné la Coupe du monde parce qu’il a rendu ses joueurs fiers".
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