D’après "France Dimanche", qui leur offre la Une de sa dernière édition, Brigitte et Emmanuel Macron auraient été trahis par des proches.
Les proches dont il est question sont ceux dont les confidences ont été livrées dans le documentaire de BFMTV, « Macron à l’Elysée, le casse du siècle ».
"Le casse du siècle", l’expression est de Gérard Collomb. Et cette expression est entendue tout au long du documentaire, tout comme le champ lexical du cambriolage.
Les termes « braquage », « repérage des lieux », « hold-up » ont été repétés.
« Il sait se faire aimer des gens, il a un incroyable pouvoir de séduction », explique plus tard Gaspard Gantzer, son camarade à l’ENA.
« il connaissait aussi bien les gardes républicains à l’entrée que les gens dans les cuisines ou les gens du couloir, il était assez unanimement apprécié", précise-t-il.
Le soir du second tour, raconte un proche d’Emmanuel Macron, le nouveau président élu seraitallé à une comparaison sur l’élection qu’il vient de gagner : "On vient de réussir un braquage. C’est comme dans Ocean’s Eleven, sauf qu’on était moins nombreux... Faut dire qu’on connaissait le proprio et qu’on avait les plans".
Mais d’après France Dimanche, Brigitte Macron n’aurait pas aimé la confidence de Philippe de Villiers, qui affirme que la première dame a aimé son livre.
« Cela fait tout de même un choc d’apprendre que la première dame, grande admiratrice de Chateaubriand et de Baudelaire, a consacré un temps à la lecture de cet essai dans lequel le catholique traditionaliste, à la manière d’un Eric Zemmour, stigmatise l’immigration de masse et se désole du déclin de la France minée par l’Islam », commente France Dimanche
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