Selon les informations du Journal du dimanche, après des mois d’attente, l’humoriste aurait finalement été confronté à sa présumée victime, une dénommée Camille qui serait âgée de 23 ans. Elle serait étudiante.
Leur confrontation aurait duré cinq heures.
« La plaignante a ainsi décrit une nouvelle fois les événements qui l’auraient conduite à porter plainte, revenant sur ce premier rapport consenti », et un second qui n’aurait pas été consenti, rapporte cette fois le magazine Public.
Ces faits, Ary Abittan les aurait fermement niés.
« Il aurait maintenu ne pas l’avoir forcée », a confié une source proche. « Il aurait présenté ses excuses, expliquant n’avoir pas compris qu’elle ne consentait pas à ce rapport ».
Dans cette bataille, Ary Abittan aurait pu compter sur le soutien de Sylvie Journo, la mère de ses trois filles.
D’après Public, elle est allée dans ce sens, en assurant que le père de ses enfants n’a jamais été violent.
« Elle a indiqué aux enquêteurs n’avoir jamais assisté ni eu vent de comportements violents de la part de son ex-compagnon », indique la publication.
Mais son témoignage aurait fragilisé par celui de deux autres femmes dont une comédienne.
« Il me touchait partout, on aurait dit qu’il avait mille mains, les seins évidemment, les bras, j’avais l’effet d’un mille-pattes », a déclaré cette dernière à son sujet.