La série de cambriolages chez les personnalités se poursuit, et cette fois-ci, c’est Anne-Sophie Lapix qui en a été la victime.
Anne-Sophie Lapix était supposée éloignée de sa tribu, dont ses mari, Arthur Sadoun, et ses enfants. Mais ce dernier met les pendules à l’heure.
De la journaliste vedette de "France 2", il en est question dans "France Dimanche", qui revenait sur les "l’agressions" verbales subies sur les réseaux sociaux suite à son interview du premier ministre d’Édouard Philippe, entretien compliqué par les problèmes techniques.
"Elle a beau être blindée en matière de méchanceté, vu sa longue carrière à la télévision", la présentatrice du 20h de France 2 "est avant tout un être humain".
"Sa carapace, pourtant bien épaisse, n’a pas résisté à l’agression", et a été anéantie par les salves odieuses.
« J’ai reçu un torrent de bouse sur les réseaux sociaux » a-t-elle reconnu, « sidérée »…
Et la distance avec sa famille, supposée installée dans le sud de la France était par ailleurs alimentée.
Mais il n’en est rien. Dans le JDD daté du 10 mai, son mari
Arthur Sadoun, le patron de Publicis, troisième groupe de communication
mondial, a pris la pose "à proximité de son domicile, jeudi à Paris".
La distance d’Anne-Sophie Lapix avec son clan est ainsi remise en cause.
"Je ne connais personne qui ait des certitudes aujourd’hui mais, ce qui
est certain, c’est que le virus ne doit pas être seulement combattu sanitairement, il doit l’être aussi économiquement", a-t-il indiqué. Nous
travaillons d’arrache-pied pour aider nos clients à traverser cette tempête. Nous devons maintenant passer de la défense à l’attaque".
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