Anne-Elisabeth Lemoine confie son angoisse insoutenable : Les conseils salvateurs de Carole Bouquet

Anne-Elisabeth Lemoine dévoile ses angoisses face à la nomophobie, et les conseils de Carole Bouquet font sensation !


Anne-Elisabeth Lemoine était aux prises avec une terrible angoisse, et elle a eu l’occasion de recevoir quelques conseils de Carole Bouquet, invitée dans C à Vous, son émission sur France 5.



Et cet échange est exhumé par le magazine Closer.

L’animatrice de France 5 que les rumeurs prétendent engagée dans une relation avec Bertrand Chameroy, a révélé qu'elle souffrait de nomophobie, cette peur de se séparer de son smartphone ou de ne pas pouvoir l'utiliser. Cette confession étonnante a été faite lors de son émission « C à Vous» sur France 5, où l'animatrice a accueilli Carole Bouquet en tant qu'invitée spéciale.

La nomophobie, contraction de « no mobile phone phobia", est un terme utilisé par les chercheurs pour décrire l'anxiété et l'angoisse ressenties lorsqu'on est séparé de son téléphone portable. Celle qui fait la Une du dernier numéro de Voici a admis qu'elle se sentait contrariée lorsque son smartphone lui était interdit pendant une période prolongée, et qu'elle ressentait de l'angoisse lorsque la batterie était faible ou lorsqu'elle n'avait pas de réseau.

Pourtant, Carole Bouquet, elle, semble ne pas être accro à son smartphone. La comédienne a expliqué lors de l'émission qu'elle avait grandi sans cet appareil et qu'elle s'en sortait très bien. Elle se souvient de l'époque où « les cartes et les demandes d'itinéraires étaient monnaie courante », et elle plaisante en disant que « les enfants d'aujourd'hui ne peuvent pas comprendre comment elle se débrouille sans se perdre ».

«Quand on organisait des déjeuners, des dîners, même à l’improviste, j’arrivais à le faire. On arrivait très bien à vivre », a-t-elle indiqué.

Malgré les conseils de Carole Bouquet, Anne-Elisabeth Lemoine n'a pas semblé rassurée par cette perspective. La nomophobie reste une source d'angoisse pour l'animatrice, qui doit maintenant trouver des moyens de gérer cette dépendance à son smartphone, indique la publication.