Angelina Jolie voulait servir d’appât pour un milicien suspecté de crimes de guerre

Le groupe de ce milicien ougandais est accusé d’enlèvements d’enfants pour en faire des soldats, les réduire en esclavage (souvent sexuel pour les jeunes filles) ; mais aussi de nombreux massacres de civils, d’exactions et de nombreuses destructions et pillages réalisés par les troupes de chocs, composées d’enfants soldats.

« Elle voudrait inviter Kony à dîner et l’arrêter », écrit ainsi en 2012 le premier procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo.

Et dans un autre message il explique à un interlocuteur : « oublie les autres célébrités, c’est elle. Elle adorerait arrêter Kony. Elle est prête. Brad (Pitt, son ex-mari, ndlr) viendra probablement aussi ».
Finalement, Angelina Jolie n’avait pas donné suite à cette proposition, sans doute après avoir été rappelée à l’ordre par son mari, qui lui reprochait de se mettre en danger.

Il faut dire qu’à l’époque Angelina Jolie avait subi une double mastectomie préventive après avoir appris qu’elle avait un risque de 87 % de développer un cancer du sein en raison d’un gène BRCA1 défectueux.