Les rumeurs de tensions conjugales entre Jean Dujardin et Nathalie Péchalat ont été dissipées par cette dernière. Un magazine people faisait état d’un retour de flamme entre l’acteur oscarisé avec son ex-femme, Alexandra Lamy. De l’intox.
Le cri de coeur d’Alexandra Lamy sur les réseaux sociaux, a été entendu par le ministre de la justice Eric Dupond-Moretti, confirme le Parisien ce mercredi.
Sur son fil Instagram, l’ex- femme de Jean Dujardin adressé à Emmanuel Macron et au ministre de la Justice pour dénoncer l’amendement Annick Billon sur le consentement des mineurs relations sexuelles dès l’âge de 13 ans.
« J’ai 13 ans, j’ai une tête à consentir à une relation sexuelle ? Non à l’amendement Annick Billon ».
"Avant 15 ans, pas de consentement, et 18 ans en cas d’inceste ou situation d’handicap ».
Celle qui serait un coeur à prendre demande à Emmanuel Macron de protéger les enfants.
Et sa requête a été entendue par le ministre de la justice qui s’est exprimé sur seuil d’âge de consentement.
« Tout acte de pénétration sexuelle accompli par un adulte sur un mineur de moins de 15 ans sera un viol », a annoncé le ministre de la Justice.
Désormais plus question de prétendre que la « victime était consentante », ni
d’interroger les critères de « menace, violence, contrainte ou surprise ».
"Afin d’éviter les objections formulées en 2018 par le Conseil constitutionnel,
deux exceptions seraient prévues : un écart d’âge (à définir) serait fixé entre l’auteur et la victime. Et la connaissance de l’âge de la victime par l’auteur
devra être démontrée".
coeur d’Alexandra Lamy sur les réseaux sociaux, a été entendu par le ministre de la justice Eric Dupond-Moretti, confirme le Parisien ce mercredi.
Sur son fil Instagram, l’ex- femme de Jean Dujardin adressé à Emmanuel Macron et au ministre de la Justice pour dénoncer l’amendement Annick Billon sur le consentement des mineurs relations sexuelles dès l’âge de 13 ans.
« J’ai 13 ans, j’ai une tête à consentir à une relation sexuelle ? Non à l’amendement Annick Billon ».
"Avant 15 ans, pas de consentement, et 18 ans en cas d’inceste ou situation d’handicap ».
Celle qui serait un coeur à prendre demande à Emmanuel Macron de protéger les enfants.
Et sa requête a été entendue par le ministre de la justice qui s’est exprimé sur seuil d’âge de consentement.
« Tout acte de pénétration sexuelle accompli par un adulte sur un mineur de moins de 15 ans sera un viol », a annoncé le ministre de la Justice.
Désormais plus question de prétendre que la « victime était consentante », ni
d’interroger les critères de « menace, violence, contrainte ou surprise ».
"Afin d’éviter les objections formulées en 2018 par le Conseil constitutionnel,
deux exceptions seraient prévues : un écart d’âge (à définir) serait fixé entre l’auteur et la victime. Et la connaissance de l’âge de la victime par l’auteur
devra être démontrée".
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