Charlène de Monaco, connue pour son talent en natation qui lui a valu des titres de championne, s’est aventurée dans une nouvelle discipline lors de ses vacances en famille.
En plus de la maladie de Charlène de Monaco, le prince Albert de Monaco se remémore ce 6 avril un deuil cruel, celui de la perte de son père, le prince Rainier.
Il y a perdu la vie le 6 avril 2005 à 6 h 35 du matin au centre cardio-thoracique où il était hospitalisé, à l’âge de 81 ans, des suites de son infection.
Une veillée devrait être organisée au Palais, peut-être en présence de Charlène de Monaco dont l’état se serait amélioré.
À l’occasion de triste anniversaire, le magazine Point de Vue consacre un dossier au prince Rainier, rappelant la façon dont il a réussi à écarter le milliardaire grec Aristote Onassis, qui l’avait défié.
C’est en 1962 que le père du prince Albert de Monaco a pris la décision de se débarrasser de son dangereux rival, et pour cela, il avait sollicité l’appui du Général de Gaulle, qui ne le portait pas non plus dans son cœur.
La princesse Grace, la regrettée belle-mère de la princesse Charlène, a été la première à sonner l’hallali dans une prise de parole publique en janvier.
« M. Onassis a tant d’investissements plus considérables que Monte-Carlo ! J’ai le sentiment que la possession de la majorité des actions […] a toujours été un amusement pour lui, plus qu’une affaire professionnelle et sérieuse », a-t-elle déclaré.
Et le mois suivant, comme le rappelle le magazine Point de Vue, par décret souverain, six cent mille actions supplémentaires de la SBM, (Société des Bains de mers », sont émises, rachetée dans la foulée par les membres du Conseil princier.
« Cet artifice boursier place l’homme d’affaires en minorité. Celui-ci intente un procès, mais
la Cour suprême monégasque le déboute », indique l’hebdomadaire.
Le milliardaire a fini par vendre ses parts et quitte le Rocher.
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