La princesse Caroline de Monaco serait remontée contre son frère, le prince Albert de Monaco, supposé avoir mal géré l’affaire Claude Palmero du nom de son ancien expert-comptable. Il a balancé des dossiers sur le Rocher suite à son éviction.
Albert de Monaco aurait brisé le bonheur de Charlène de Monaco, une fille extra, qui se serait éteinte avec le temps. Face aux « serpents » du Palais, elle aurait perdu de sa superbe.
Comme le rapporte le magazine Elle, certains résidents de la principauté n’hésitent pas à évoquer le « syndrome de la princesse malheureuse », « qui voudrait qu’une malédiction frappe toutes les « bergères » ayant eu le malheur de tomber amoureuses d’un prince.
Des nombreux exemples ont été cités, le cas notamment de la princesse Diana brisée par les infidélités du prince Charles, mais aussi de
Masako du Japon.
Ce syndrome est cependant mis à mal par des exemples récents, comme Kate Middleton qui s’affiche unie et complice avec le Prince William, une quinzaine d’années après l’amorce de leur idylle, ou encore Victoria de Suède et même Meghan Markle accro au prince Harry, le père de ses deux enfants.
Citée par le magazine Elle, une Monégasque (« de souche », d’un âge vénérable « fait le parallèle entre Charlène et Grace Kelly, la mère d’Albert.
« Elle aussi a eu beaucoup de mal à s’intégrer. Mais au moins, elle est restée avec ses enfants… ».
La princesse Charlène isolée en Afrique du Sud, en raison de ses ennuis de santé, a été éloignée de ses jumeaux, Gabriella et Jacques. La première dame du Rocher est ainsi taxée d’être une mauvaise mère.
De l’intox, assure une admiratrice au Rocher.
« Dès qu’il y a un problème, c’est toujours la faute de la maman ! Mais je sais, pour l’avoir croisée avec eux, que Charlène est une mère extra. C’est vrai que ces derniers temps, elle s’est un peu éteinte, mais si vous saviez comme elle était joyeuse, au début ! », a-t-elle expliqué.
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