La perquisition au domicile d’Alain Delon à Douchy a révélé un arsenal impressionnant : 72 armes à feu et 3 000 munitions saisies. Bernard Montiel, proche de l’icône du cinéma, révèle que cette opération visait à protéger l’acteur de ses sombres...
Isolé dans son manoir du Loiret, Alain Delon a finalement brisé le silence sur la disparition de son ami Jean-Louis Trintignant à l’âge de 91 ans.
Cette triste nouvelle a été annoncée par sa famille dans un communiqué adressé à l’AFP.
« Mariane Hoepfner Trintignant et la famille vous font part du décès de Jean-Louis Trintignant », est-il indiqué.
Le regretté acteur est décédé paisiblement de vieillesse dans sa propriété située dans le Gard.
Jean-Louis Trintignant était entouré de ses proches.
« Conformément à son souhait, les obsèques se dérouleront dans l’intimité », a fait savoir le communiqué.
Et cette disparition a suscité de nombreuses réactions dont celle d’Alain Delon qui avait inquiété sur son état quelques années plus tôt. Le Samouraï est chamboulé.
« Après Belmondo, encore un frère qui part et je suis bouleversé », a réagi le père de trois enfants auprès de l’AFP.
Les deux acteurs s’étaient donné la réplique dans Flic Story en 1975.
Jean-Louis Trintignant était très fragilisé et songeait au suicide.
« Je sais que je vais me suicider », avait-il confié, avant d’évoquer son personnage dans « Happy End » qui lui ressemble énormément.
« Ce personnage m’a énormément touché. Je suis à la fin de ma vie, comme lui. Je pense beaucoup au suicide, comme lui », disait-il par ailleurs.
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