« Sa vie perso, c’est Vanessa qui en parle le mieux », indique dans un premier temps la publication avant de relayer les confidences de celle qui partagerait désormais la vie de Samuel Benchetrit, le réalisateur de son dernier film « Chien ».
Elle évoquait notamment son adolescence trouble.
Révélée au grand public à l’âge de 14 ans, la chanteuse se rappelle avoir vécu cette période comme un cauchemar. Elle était souvent prise à partie dans la rue.
« J’intégrais un nouveau lycée à Fontenay-sous-Bois, où je ne connaissais personne à part une amie, Valérie. Je prenais le RER tous les matins à l’heure de pointe, avec des regards braqués sur moi », se rappelle la chanteuse de 44 ans, citée par Closer.
« Mon image était tellement exposée, ma voix tellement présente sur les ondes qu’il y a eu un phénomène de saturation, de rejet. Et dans le monde des adolescents, c’est brut, pour ne pas dire brutal. J’en ai bien chié (rires) », poursuivait Vanessa Paradis.
« On me crachait dessus dans la rue, on me tirait les cheveux, on m’insultait, on taguait les murs de ma maison, ‘p***’, ‘salo***’. Entre 14 et 16 ans, et jusqu’au film Noce blanche en fait, ça a été violent. Complètement l’inverse d’aujourd’hui », dit-elle celle qui ne changerait pour rien au monde cette période.
« Mais s’il fallait revivre tout ça pour avoir le rapport que j’ai avec les gens aujourd’hui, je signe sans hésiter. Parce que ça vaut le coup », glissait par ailleurs la chanteuse.