C’est ce que rappelle Adam Waldman, avocat de l’acteur hollywoodien, cité par le magazine People.
Cet homme de loi rappelle que les prétendues dépenses malheureuses « sont en réalité des investissements commerciaux judicieux ».
« Par exemple, l’île aux Bahamas qu’il a achetée pour 5,3 millions de dollars en vaut la peine. De même, le château en France qu’il a acheté pour ‘deux millions’ en vaut désormais plus de 30 millions », indique-t-il avant d’évoquer ses peintures signées « Basquiat qu’il a achetées pour quelques millions », lesquelles avaient finalement trouvé preneur « pour 14 millions de dollars, et ainsi de suite ».
Même s’il est supposé être confronté à quelques galères, Johnny Depp refuserait toujours de se séparer de sa propriété de Plan-de-la-Tour, qui lui rappelle ses années bonheur avec Vanessa Paradis et leurs enfants.
L’an dernier, le héros de « Pirates des Caraïbes » refusait de la faire visiter. Mais cette fois, il se serait fait une raison, indique Ici Paris.
« Là, il avait une petite roulotte où la famille aimait dormir de temps à autre, ce qui faisait tellement plaisir aux enfants. Ici une cabane de chasseur, ou encore une petite chapelle, des maisons d’invités, deux piscines, mais aussi une buanderie à l’ancienne, un atelier de peintre, où Johnny Depp, peintre accompli, s’isolait pour immortaliser des paysages ou des portraits des amis », indique l’hebdomadaire people, qui dévoile quelques photos.
« Des moments chargés de souvenirs, rappelant des moments heureux, sans doute trop difficile à gérer désormais. Mais estimés toutefois à 35 millions de dollars par la star », conclut la publication.