Après une récente altercation qui a nécessité l’intervention de la police, la sérénité semble être de retour dans la vie de Valérie Trierweiler et de ses enfants.
Me Emmanuel Marsigny, l’avocat de Mohamed Rizki, ex-candidat UMP, entend demander une expertise psychiatrique de Valérie Trierweiler, après que celle-ci ait giflé son client.
« J’étais attablé à une terrasse de café avec un ami dans le XVe arrondissement, raconte-t-il dans les colonnes du « Parisien ».
« Il était aux alentours de 14h30. J’ai vu arriver Mme Valerie Trierweiler vers nous. Je lui ai simplement demandé : “Comment va François ??” Honnêtement, c’était une simple question, sans arrière-pensée. », confie cet ancien candidat aux municipales à Compiègne.
« Une question « sans arrière-pensée. Elle est venue vers nous en répétant de manière très agressive : “Excusez-vous ?! Excusez-vous ?! Excusez-vous ?!” Elle était très, très hystérique. Et là, elle m’a giflé avant de tourner les talons. J’étais choqué. J’ai été humilié. Rien ne justifie la violence », poursuit-il. « Elle a porté atteinte à mon intégrité physique, morale et à ma dignité humaine. Entre gens civilisés, on n’utilise pas la violence pour des mots, qui plus est quand on a été première dame ».
Mohamed Rizki affirme avoir hésité à déposer plainte. Il aurait été poussé à le faire par son entourage.
« Je voudrais savoir si elle a conscience du mal qu’elle a fait. Il faut qu’elle comprenne que nous vivons dans une démocratie et que la liberté d’expression existe. Et qu’aucune violence ne saurait être justifiée. Je lui demande des excuses publiques. », dit-il.
Son avocat va cependant plus loin dans sa démarche. Il entend demander une expertise psychiatrique de l’ex de François Hollande.
« Au regard de la réaction totalement disproportionnée de Mme Trierweiler et compte tenu d’autres faits de violences récents [allusion à son altercation avec l’ex-femme du ministre Michel Sapin, ndlr], nous sommes en droit de nous interroger sur son état de santé psychiatrique et son état de dangerosité », lance-t-il.
« C’est un comportement qui relève, peut-être, d’une pathologie psychiatrique. Et comme la justice nous permet de le faire dans les dossiers de cette nature, nous allons donc demander une expertise psychiatrique de Mme Trierweiler. » .
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