Le calme de la nuit de jeudi à vendredi s’est brisé chez Valérie Trierweiler, alors que la police a dû intervenir pour mettre fin à une violente altercation entre ses deux fils, âgés de 26 et 29 ans. Un choc pour l’ex-première dame.
Pour avoir giflé un ex candidat UMP dans un bar parisien, Valérie Trierweiler s’en tire avec un simple rappel à la loi.
Il y a quelques semaines, l’ex première-dame avait giflé à un ex élu de Compiègne, qui l’aurait insultée.
’Quelqu’un de normal aurait essayé de discuter. Pensez-vous que Ségolène Royal aurait agi de la sorte ?’, avait taclé cet homme politique lors d’un entretien avec VSD.
Mais le témoignage de cet ancien candidat UMP est loin de faire l’unanimité.
Certains témoins directs de son échange musclé avec la journaliste de « Paris Match » l’accusent de vouloir se faire de la publicité.
« C’est un fouteur de merde », confiait l’un des serveurs de ce bar du 15 ème arrondissement de Paris où se sont déroulés les faits. Et un autre employé de confirmer ce propos : « Il a sans doute voulu se faire de la pub ».
« Le monsieur était très provocateur, il enchaînait les piques. Il aurait même dit : ‘Celle qu’il a maintenant est plus mignonne’, assure de son côté un autre témoin.
Cette affaire, l’ex première-dame l’a commentée avec un seul mot : « Un seul mot : #stopalamuflerie ».
Pour cette altercation, Valérie Trierweiler a reçu un simple rappel à la loi. « Une procédure peu courante, puisque d’ordinaire, les personnes concernées sont reconvoquées par un juge pour se voir signifier de visu leur rappel à la loi » rapporte Europe 1.
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