C’est dans la matinale de France Inter que Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, s’est exprimée sans filtre ce mercredi 6 mars, sous le feu des questions de Léa Salamé.
Jean-Luc Mélenchon s’est confié dans les colonnes de ’Closer’, où il évoque non seulement Valérie Trierweiler dont le livre ’Merci pour ce moment’ a été un grand succès, mais aussi la presse people, et les médias en général.
’Ils sont souvent le lieu d’un « ?entre soi ? » cruel et vaniteux’, répond l’ex candidat à la présidence de la république à la journaliste de Closer qui lui demande la raison pour laquelle il se détourne des médias classiques.
’Je suis un rebelle. Je ne suis pas une sorte de Manuel Valls en plus âgé. Face à ce robot qui construit un mur de phrases toutes faites dans les médias officiels, je dois tout le temps trouver des failles dans le mur par lesquelles passer le message’, glisse-t-il.
’A cet instant, vous êtes pour moi un espace de liberté. Les gens vont le capter tout de suite’, ajoute Jean-Luc Mélenchon en parlant de ’Closer’, avant de confirmer désapprouver la presse people.
’Je pense qu’il y a bien des manières de jouer avec le feu. Ça peut être comme vous le faites ici avec moi aujourd’hui’, dit-il. ’Vous faites venir chez vous le diable rouge qui ne veut pas qu’on parle de sa vie privée. Vous m’avez amené à l’endroit où on passe son temps à ça ?! Et puis, moi, je joue aussi avec vous, car je ne vais rien vous raconter sur ma vie privée. Mais vous trouveriez à dire dessus, j’en suis certain’, explique-t-il.
Jean-Luc Mélenchon évoque ensuite Valérie Trierweiler.
’C’est une chose d’avoir un grand chagrin d’amour, une chose de subir une humiliation. Déjà, d’en faire un livre, c’est limite. Mais une tournée européenne, en plus... non ?! Mettre en scène soi-même, et à répétition, cette humiliation partout... On finit par se perdre’, indique-t-il.
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