Le calme de la nuit de jeudi à vendredi s’est brisé chez Valérie Trierweiler, alors que la police a dû intervenir pour mettre fin à une violente altercation entre ses deux fils, âgés de 26 et 29 ans. Un choc pour l’ex-première dame.
Aucune attaque de Valérie Trierweiler sur Ségolène Royal n’a été censurée par les ‘Arènes’, l’éditeur de ’Merci pour ce moment’, confirme son patron, Laurent Beccaria.
Le patron de cette maison d’édition s’exprime en effet lors d’un entretien avec l’Express, où il affirme que l’ex première dame n’a pas été censurée.
Il était en effet affirmé que la journaliste de Paris Match a expurgé son brûlot de quelques passages diffamatoires, notamment ceux concernant Ségolène Royal, affirmait le Nouvel Observateur.
Des passages sur Ségolène Royal, jugés ‘diffamatoires’ ont été ‘supprimés’ pendant la relecture.
D’après l’hebdomadaire, quatre personnes, ‘les quatre mousquetaires’, auraient participé à la relecture de ‘Merci pour ce moment’.
Il s’agit de Laurent Beccaria, patron des Arènes, l’agent littéraire Anna Jarota, Florent Massot, éditeur aux Arènes, et Patrick de Saint-Exupéry, co-fondateur de la revue trimestrielle XXI.
Certains passages jugés ‘trop durs’, ont été supprimés. L’ex première dame aurait par ailleurs été exhortée à ‘développer les moments heureux partagés avec François Hollande‘.
Cette allégation est démentie par Laurent Beccaria.
’C’est faux’, dit-il. ’Bien sûr, en lisant le fameux passage sur les "sans-dents", j’ai mesuré l’impact politique qu’il pourrait avoir. Nous en avons parlé et elle m’a répondu que François Hollande avait utilisé cette expression à plusieurs reprises et qu’elle n’avancerait pas ce genre de choses sans assurances. C’est une journaliste avertie. Fin juillet, Valérie Trierweiler nous a dit : "On y va ! Je sais que je vais en prendre plein la figure, comme d’habitude, mais on y va quand même’, précise-t-il.
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