En entretien avec « Grazia », Valérie Trierweiler a évoqué non seulement son engagement humanitaire mais aussi son avenir professionnel, regrettant au passage un « manque de propositions ».
Très engagée pour l’opération « oubliés des vacances », initiée par le secours populaire, l’ex première-dame a regretté tout d’abord que les jardins de l’Elysée ne soient pas ouverts aux enfants, contrairement à ceux de l’assemblée nationale et du Sénat.
’C’est dommage pour les enfants’ lâche-t-elle.
L’ex de François Hollande regrette ensuite de ne pas avoir reçu de propositions professionnelles, près deux ans après son départ de l’Elysée.
« Il n’y aura pas de retour au journalisme politique. J’attends professionnellement que des portes s’ouvrent »’, a indiqué celle qui a renoncé, après l’accession de François Hollande à la présidence de la république, à son métier de journaliste politique au sein de la rédaction de « Paris Match » et son émission culturelle sur D8.
La journaliste a également évoqué Jean-Luc Mélenchon, qui "s’adresse aux plus démunis, il les entend. Comme avec le peuple grec’.
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