Invitée le 18 août sur « RTL » dans le cadre de l’émission de Bernard Poirette en tant que marraine du « Secours Populaire », Valérie Trierweiler a applaudi des deux mains Ségolène Royal, qui s’est attaquée au gaspillage alimentaire.
« Quand je vois qu’elle propose une loi, j’applaudis des deux mains » a ainsi lâché l’ex Première Dame au micro de « RTL », en référence à cette loi proposée par sa prétendue rivale.
Si le journaliste de « Paris Match » a enterré la hache de guerre avec la ministre de l’écologie, c’est loin d’être le cas avec François Hollande sur lequel elle avait balancé dans « Merci pour ce moment », succès littéraire de l’année dernière dont l’adaptation au cinéma est en route.
Valérie Trierweiler ne semble pas en effet avoir digéré leur rupture.
’François Hollande est le président de tous les Français donc le mien aussi’, fait-elle tout d’abord savoir.
’Mais maintenant mon président de coeur c’est Julien Lauprêtre (le président du Secours Populaire, ndlr)’.
En dépit de son opposition au chef de l’Etat, l’ex première-dame assure qu’elle est plus que jamais une femme de gauche.
’Il y a une forme de mépris des classes sociales dites supérieures à l’égard de ceux qui n’ont pas eu la même chance à la naissance, accuse-t-elle. (…( Regardez surtout ce qu’il se passe au niveau de l’école. Ces bobos qui s’offrent des lofts à la périphérie de Paris et ne veulent pas mélanger leurs enfants avec ceux des milieux populaires. Cette ségrégation, dès le plus jeune âge, est ce qu’il y a de plus révoltant.", disait-elle par ailleurs il y a quelques jours dans un entretien accordé à Grazia.
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