A cinquante ans, Sophie Davant est plus épanouie que jamais. Et elle le clame haut et fort dans son ouvrage ’ Ce que j’ai appris de moi - Journal d’une quinqua’ qui sort aux éditions Albin Michel.
Pour l’occasion, l’animatrice de France 2 se livre non seulement sur sa carrière, ses doutes après la mort de sa maman, qui a perdu la vie à 45 ans, mais aussi sur sa vie sentimentale.
La mort de sa maman, qui était chercheuse en biologie cellulaire au CNRS, spécialiste de la gynécologie du ver de terre, est la source de ses crises d’angoisse, conséquence indirecte de l’implosion du couple qu’elle formait avec Pierre Sled, le papa de ses deux enfants.
’Oui, je n’étais plus en phase ni avec mon mari ni avec mon boulot. Comme au bord d’une dépression’, confie-t-elle.
Son ex mari Pierre Sled lui a alors dit : "Tu traverses juste ce milieu de vie plein de questionnements’.
’Chez moi, tout ça était exacerbé par le fait que maman est décédée d’un cancer à quarante-quatre ans, c’était un âge symbolique à franchir, qui réactivait mon sentiment d’abandon’, a-t-elle poursuivi.
Suite à sa crise, Sophie Davant a mis un terme à sa relation avec le papa de ses deux enfants. Ils sont restés en bons termes.
’On s’est séparés avant de s’insupporter. Sans aucune hostilité. Il en est ressorti qu’on avait besoin d’évoluer différemment’.
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