Patrick Bruel est l’invité ce soir de Laurent Delahousse, dans 20h 30 heures le Dimanche, sur France, où il revient sur sa visite en Algérie avec sa mère. Mais son bonheur est gâché par certains commentaires indélicats.
Même s’il semblait isolé dans le sud de la France où il était installé depuis de nombreuses années, Renaud ne ratait rien de ce qui se disait sur lui.
En confidence cette semaine au micro de France Inter, le chanteur a confié sa déception de voir « Un jour, un destin », le rendez-vous de Laurent Delahousse sur « France 2 » qui lui était consacré l’an dernier.
« Paradoxalement, alors que j’avais disparu, les médias n’ont pas cessé de parler de moi, de délirer sur moi, de faire des 50 minutes Inside, des 7 à 8, d’autres émissions de ce style », confie le chanteur, en pleine promotion de son single, « Et Toujours Debout », premier extrait de son album prévu pour le mois de mars.
Et s’il est une émission qu’il n’a pas encaissé, c’est bien celle de Laurent Delahousse, un programme phare de France 2, qui lui a donné l’impression d’être disparu. Il ressemblant à ses yeux à une sorte d’hommage posthume.
« Ce qu’ils m’ont fait de pire, c’est Un Jour, Un Destin. Comme si j’étais mort. Un Jour, Un Destin : Renaud. La veille ils avaient fait Edith Piaf, l’avant-veille, Charles Trenet », a-t-il regretté.
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