En effet, lors d’une émission en direct avec son expert en traumatologie, Gabor Mate, le prince Harry a révélé avoir expérimenté la drogue à plusieurs reprises dans sa jeunesse. Le prince a ainsi avoué avoir consommé de la cocaïne, de la marijuana et même des champignons hallucinogènes. Il a également décrit son expérience avec l’Ayahuasca, une plante hallucinogène utilisée dans certaines cultures sud-américaines à des fins rituelles et spirituelles.
Pour le prince, la cocaïne était "plus une drogue sociale" qui lui procurait "un sentiment d’appartenance". En revanche, il décrit la marijuana comme ayant "vraiment aidé" à un moment donné de sa vie. Quant à l’Ayahuasca, il affirme qu’elle lui a procuré "une sensation de détente, de lâcher-prise, de bien-être et de légèreté que j’ai pu maintenir pendant un certain temps".
Ces aveux publics pourraient avoir des conséquences désastreuses pour le prince et sa femme, Meghan Markle, affirme « In Touch ».
Ces confidences auraient suscité l’intérêt d’une commission publique américaine. Cette dernière a demandé aux autorités d’immigration américaines de fournir le questionnaire rempli par le prince à son arrivée dans le pays.
Les visiteurs sont en effet tenus de répondre à des questions, dont celle-ci : "Avez-vous déjà consommé des drogues ou souffrez-vous de dépendance ?" Si le prince Harry, papa de deux enfants, a menti sur le formulaire, une poursuite devant la justice américaine ne serait pas exclue, et son droit d’immigration pourrait lui être refusé.
Cette affaire prend une telle ampleur en raison de son contexte politique : l’élection présidentielle approche à grands pas et Harry et Meghan sont des proches de personnalités du parti démocrate telles que Barack Obama. Les Républicains pourraient donc chercher à utiliser cette affaire « pour embarrasser leurs adversaires politiques ».