Interrogé sur sa relation avec Meghan Markle, le Prince Harry a livré une réponse toute timide sur sa chère et tendre avec qui il s’apprêterait à unir sa destinée avant la fin de l’année.
A l’occasion de la campagne de sensibilisation contre les troubles mentaux, lancée en partenariat avec l’association Heads Together, le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique a répondu aux questions de Sky News sur sa vie sentimentale.
« Oui, ça se passe bien, pour moi… et pour tout le monde », répond-t-il à une question dans ce sens avant recentrer son discours sur la cause qu’il était venu défendre : « Je veux que ce soit le cas pour tout le Royaume-Uni également. Je ne supporte pas l’idée de voir des gens souffrir en silence, quels qu’ils soient. ».
En décembre dernier, « Us Weekly », on le rappelle, affirmait que le prince avait présenté sa chère et tendre aux membres de sa famille.? Et elle aurait fait l’unanimité.
La reine Elizabeth II se serait aussi exprimée au sujet de la nouvelle conquête de son petit-fils.?Une source rapportait en effet que la reine « appuie pleinement » la relation du prince Harry et de Meghan Markle, alors que Kate Middleton avait mis cinq ans à se faire accepter par le palais.
Une proche expliquait que la souveraine « est ravie de voir Harry vivre une relation amoureuse ».?Closer prétendait de son côté que la jolie métisse était détestée par la couronne.?« Elle est trop marquée Hollywood, sans parler du fait qu’il n’est pas aristocrate. En plus, elle est divorcée, et pose en petite tenue », indiquait une source proche.
Selon certains membres de la famille royale, la nouvelle compagne du prince Harry n’a « rien d’une princesse ».
De plus, Meghan Markle est métisse, et a grandi dans une famille issue de la classe moyenne, « loin de la sophistication des Windsor ».?« Si Harry et Meghan se mariaient et avaient des enfants, l’éventualité d’un divorce serait catastrophique », poursuivait Closer avant de rappeler que les enfants pourraient quitter l’Angleterre pour s’installer aux Etats-Unis. « Ce serait un désastre » aurait lancé le prince Charles.
Ces articles devraient vous intéresser :
