La rupture de Valérie Trierweiler se réjouit Romain Magellan se confirme cette fois, deux ans après que le magazine Closer a alimenté des frictions.
Des photos de Julie Gayet et François Hollande à l’Elysée, diffusées par ’Voici’, il en est question dans ’Le Point’, qui affirme au détour de son article que Valérie Trierweiler a volé au secours des employés de l’Elysée.
’Pour l’ex-première compagne, pas de doute, des innocents trinquent dans cette affaire. Elle n’a jamais douté de la probité des majordomes qui furent, il y a peu encore, à son service’, rapporte l’hebdomadaire.
’Pour l’un d’eux, je mettrais ma tête à couper. Pour deux autres, ma main. Et pour les deux derniers, j’avoue que je ne sais pas’, déclare l’ex-première dame dont le livre ’Merci pour ce moment’ s’est écoulé à plus de 700000 exemplaires.
Et d’ajouter : ’Mais, je les imagine mal prendre un tel risque’.
"Le Point" indique que l’enquête menée par les services de l’Elysée a établi, par recoupements et sur les indications de Julie Gayet, que les photos ont été prises le 14 septembre. Seuls deux majordomes étaient présents dans l’enceinte de l’Elysée ce jour-là.
La semaine dernière, Le Point assurait pourtant que l’auteur des clichés a été débusqué et qu’il s’agit de « Sébastien Valente, un paparazzi de 34 ans’ qui travaille pour « l’agence E Press ».
Le Point précise que le photographe est très proche de Carla Bruni, L’ex première dame.
Sébastien Valente ‘a été imposé par Carla Bruni-Sarkozy au staff de son mari’.
‘Carla Bruni-Sarkozy est, dit-on, très friande de son travail et, surtout, de ses petites histoires sur les sorties du président’.
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