Indirectement, Laeticia Hallyday a démenti une liaison avec Patrick Bruel, en s’affichant dans les rues de Paris avec Jalil Lespert. L’acteur-réalisateur l’a accueillie à l’aéroport.
Invité de RTL pour y promouvoir son dernier album en hommage à Barbara, Patrick Bruel a balancé sur Marine Le Pen, qui s’était illustrée en diffusant sur Twitter des photos de Daech.
« Ce qui est intéressant, c’est de voir dans l’euphorie du premier tour, ils se sont peut-être sentis pousser des ailes et que la douche froide du deuxième tour fait ressortir des attitudes qu’ils avaient tenté d’enfuir », confie le chanteur de 54 ans, qui s’est toujours mobilisé contre l’extrême droite.
« Une attitude de provocation comme avec ses tweets abjectes qui n’avaient absolument pas lieu d’être au vu de ce qu’avait dit Jean-Jacques Bourdin. Mais c’était un prétexte à la provocation. La provocation a toujours été le chemin du Front National », a-t-il ajouté.
« Marine Le Pen a toujours essayé de se détacher de l’image provocatrice de son père mais là quand on est au pied du mur, il y a des vieux démons qui ressortent. On a droit maintenant à son vrai visage, et ce n’est pas qu’à moi de le constater mais aussi à ceux qui ont voté pour elle », explique l’artiste.
« Et ces gens ne partagent pas tous ses idées, ce sont surtout des gens en colère, désespérés, des gens que la politique a déçu et qui se tournent aujourd’hui vers les sirènes du populisme. Il faut juste leur dire que ça n’a jamais marché nulle part, jamais. Il ne faut pas attendre de l’avoir sous les yeux pour s’en rendre compte ».
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