Si Patrick Bruel file aujourd’hui le grand amour avec Caroline qui partage sa vie depuis deux ans, il reconnait dans les colonnes du JDD avoir toujours été entouré par des filles.
’Même seul, lorsque j’habitais à Argenteuil avec ma mère (ses parents se sont séparés quand il avait un an, ndlr), qui était institutrice, je n’ai jamais connu ce sentiment », raconte tout d’abord le chanteur de 55 ans dans les colonnes de ’JDD’, où il lui était demandé s’il avait connu la solitude durant son enfance.
’Les classes me servaient de cabane. Je me fabriquais mon univers avec les boîtes de craies, se rappelle-t-il. ’C’étaient mes trésors. Il y a toujours eu cette recherche d’adrénaline. Même avec le poker, ça n’a jamais été pour l’argent’.
C’est vers l’âge de 13 ans que Patrick Bruel a composé sa première bande, formée en grande partie par des filles.
’C’est là que j’ai trouvé ma première bande. Il y avait beaucoup de filles. A partir de là, j’ai été très entouré », a glissé le chanteur, qui est toujours en contact avec ses copains d’enfance, évoqués dans son titre « Place des grands hommes ».
’Marion est aujourd’hui chasseuse de têtes. C’est la fille de Georges Suffert, l’un des fondateurs du « Point ». Moi, je venais d’un milieu de gauche. C’était amusant de se construire en contradiction », ajoute par ailleurs par ailleurs l’artiste.
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