Seul son père aurait pu apaiser Nabilla, estime Stéphane Clerget, un pédopsychiatre, interrogé par ’Public’ qui revient sur les déboires judiciaire de la starlette de télé-réalité.
La bombe genevoise est dans sales drapes, après avoir été accusée d’avoir poignardé son compagnon Thomas Vergara.
Et pour Stéphane Clerget, seul une rencontre avec son papa, avec lequel elle est brouillée depuis des années, aurait pu l’apaiser.
’Revoir son père aurait pu l’apaiser, à condition qu’il lui dise des choses positives. Les failles peuvent se réparer en partie, mais cela demande du temps. Une psychothérapie aurait pu l’aider. Parfois, on n’accepte pas facilement la thérapie, car un travail sur soi nécessite de fendre l’armure au risque de tomber en dépression. Il faut que Nabilla laisse parler la petite fille qu’elle était pour grandir et devenir adulte, mais ça peut lui être insupportable,’, indique-t-il.
’Si ce geste a eu lieu, il traduit peut-être inconsciemment un appel au père et à ses limites’, glisse-t-il.
Ce spécialiste de la question explique par ailleurs que Nabilla n’est pas une victime de la télé-réalité. ’On ne peut pas affirmer que la télé l’ait abîmée. Les casteurs de ce genre d’émissions prennent dès le départ des personnes qui présentent des fragilités’, dit-il.
’Au contraire, son activité l’a préservée. La notoriété lui a donnée un cadre et lui a imposé des obligations’.
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