Pour l’occasion, il est demandé à la journaliste s’elle a voté pour la grève, soutenue par 80% des salariés de la chaine d’information en continu.
« J’ai déjà exprimé toute ma solidarité envers mes confrères de la rédaction. J’y travaille depuis quatre ans au quotidien, et pour moi, c’est une des plus belles rédactions de France. Elle m’a redonné la foi dans le journalisme », explique-t-elle.
« C’est un sujet compliqué » reconnait Laurence Ferrari.
Et d’ajouter « Moi, à titre personnel, et je l’ai toujours expliqué aux assemblées générales auxquelles j’ai participé, j’estime que le droit à l’information est un droit que je ne peux pas entraver. J’estime que je ne peux pas faire grève car j’estime que le droit à informer et à être informé sont des droits inaliénables ».
« Je respecte totalement le droit de grève, je suis solidaire de mes confrères, et jamais il ne me viendrait à l’idée d’outrepasser cela », indique-t-elle par ailleurs.
Laurence Ferrari a déjà eu l’occasion de s’exprimer à ce sujet via sa page Facebook.